Le nom du tableau vient d’un poème écris en 1993 et dont la première moitié est reproduite sur le tableau lui-même. Si le poème n’avait pas d’autre but que de faire rimer des phrases entières avec une sorte d’écho approximatif d’elles-même, le tableau est en revanche une forme de Vanité émergeant de ce poème issu d’une jeunesse arrogante et persuadée de son immortalité.
L’envie de faire des vanités m’est venue d’une amie, professeur d’Art Plastique, dont la présence m’a ouvert cet horizon.